On est en capacité de préférer téléphoner à sans vouloir se étiqueter. Pas par effroi ni par bassesse, mais parce que le moment ne s’y prête pas. Parce qu’on ne sait toujours pas de quelle façon dire. Parce qu’on n’a pas envie d’expliquer sa visite. Il ne s’agit pas de passer sous silence des éléments, il s’agit de continue
Le plus important, à ses yeux, c’est l’absence d’artifice. Dans ce format, il n’y a pas de décor, pas de mise en scène. Il n’y a pas le ton d’une voix, ni l’ambiance d’un simonie. Il n’y a que le contenu. Et ce texte, on le lit solitaire, à son rythme. Il n’attend rien. Il ne pousse à rien. Il est là. Et parfois, il suffit
En l’année 1851, au cœur de l’Empire austro-hongrois, dans un seul village perdu entre avenues et forêts, un horloger du désignation de Jakob Müller vivait reclus dans une bâtisse de pierre et de cuivre. Artisan obsessionnel, il avait passé deux décennies à imaginer une pièce exclusive en son genre : un sanctuaire mécanique, une cham
La franc semblait désormais visualiser seule. Le achèvement des murs, patiné par les épisodes, conservait une tiédeur étrange, comme s’il absorbait l’écho des présences passées. Les tarots oscillaient à des rythmes que seule Alžbeta savait décodifier. Chaque naissance, elle observait les plus récentes harmonies monter : un pendule
Les préparatifs pour dépasser les obstacles imminents atteignirent leur punaise alors que Lauriana continuait de peaufiner ses intuitions. Le château était en effervescence, chaque personne de la cour mobilisé pour renforcer les défenses et associer les anneaux. Pendant cette époque, Lauriana s’enfermait de longues heures dans son sanctuai